Arrêtez de demander "Est-ce que je parle couramment ?", votre objectif était peut-être faux dès le départ
Nous nous sommes tous posé cette question, probablement plus d'une centaine de fois :
"Quand est-ce que je pourrai enfin parler couramment l'anglais ?" "Pourquoi, après avoir étudié si longtemps, ai-je encore l'impression de ne pas être 'fluide' ?"
Cette question pèse comme une montagne sur le cœur de chaque apprenant en langues. Nous avons toujours l'impression qu'au sommet de cette montagne se trouve un trésor ultime appelé la "fluidité", et qu'une fois atteint, tous les problèmes seront résolus.
Mais si je vous disais que cette montagne n'existe peut-être pas du tout ?
Aujourd'hui, changeons de perspective. Arrêtons de voir l'apprentissage des langues comme une ascension, et imaginons-le plutôt comme l'apprentissage de la cuisine.
Quel type de "chef" êtes-vous ?
Quand vous commencez à cuisiner, vous ne savez peut-être que faire des nouilles instantanées et des œufs au plat. Ce n'est rien, au moins vous ne mourrez pas de faim. C'est comme quand vous apprenez juste à commander un café ou à demander votre chemin dans une langue étrangère : c'est la phase de "survie".
Petit à petit, vous maîtrisez quelques plats signatures. Œufs brouillés à la tomate, poulet au Coca-Cola... Vous pouvez faire étalage de vos talents culinaires chez vous pour vos amis et votre famille, et tout le monde apprécie le repas. C'est comme si vous pouviez avoir des conversations quotidiennes avec des amis étrangers ; même si vous utilisez parfois le mauvais mot ou la mauvaise grammaire (un peu comme mettre trop de sel dans un plat), la communication est globalement fluide.
À ce moment-là, cette question agaçante refait surface : "Suis-je un 'chef' fluide ?"
Nous pensons souvent que la "fluidité" signifie devenir un chef étoilé Michelin trois étoiles. Cela signifierait maîtriser la cuisine française, japonaise, sichuanaise, cantonaise... être capable de concocter des sauces parfaites les yeux fermés, et de connaître sur le bout des doigts les propriétés de tous les ingrédients.
Est-ce réaliste ? Bien sûr que non. Poursuivre cette "perfection" ne fera que vous stresser énormément et, au final, vous fera abandonner la cuisine pour de bon.
La vraie "fluidité", c'est devenir un "chef de famille" confiant.
Un bon chef de famille ne recherche pas la perfection, mais la connexion.
Il excelle peut-être dans les plats du quotidien, mais ose aussi de temps en temps s'aventurer à faire un tiramisu. Il ne connaît peut-être pas tous les termes techniques, mais il sait comment, grâce aux associations, rendre un repas savoureux et plaisant. Le plus important, c'est qu'il peut organiser un dîner réussi – les amis sont réunis autour de la table, savourant la nourriture et discutant joyeusement. Le but de ce repas est atteint.
C'est cela le véritable objectif de l'apprentissage des langues.
-
Fluidité > Précision absolue Quand un chef de famille cuisine et se rend compte qu'il n'a plus de sauce soja, il ne reste pas figé sur place. Il pensera : "Puis-je remplacer par un peu de sel et de sucre ?" Le plat continue d'être préparé, et le dîner n'est pas interrompu. C'est la même chose pour l'apprentissage des langues : quand vous butez sur un mot, vous arrêtez-vous pour chercher désespérément le mot le plus "parfait", ou trouvez-vous une autre façon d'exprimer votre idée pour que la conversation continue ? Faire en sorte que la conversation circule est plus important que la perfection de chaque mot.
-
Compréhension et Interaction Un bon chef ne doit pas seulement savoir cuisiner, il doit aussi comprendre ses "convives". Préfèrent-ils le piquant ou le sucré ? Quelqu'un est-il allergique aux cacahuètes ? Le but de ce repas est-il de fêter un anniversaire ou un dîner d'affaires ? Cela détermine ce que vous allez cuisiner. L'"interaction" en langue, c'est ce type d'"intelligence émotionnelle". Vous ne devez pas seulement comprendre les mots que l'autre personne prononce, mais aussi les émotions inexprimées et les sous-entendus. Le cœur de la communication n'est jamais seulement la langue, mais avant tout l'humain.
Laissez tomber l'obsession du "locuteur natif"
"Je veux parler comme un locuteur natif." Cette phrase, c'est comme un chef qui dirait : "Je veux cuisiner exactement comme un chef étoilé Michelin."
Non seulement ce n'est pas réaliste, mais cela ignore un fait : il n'y a pas de norme unique pour le "locuteur natif". L'accent de Londres, l'accent du Texas aux États-Unis, l'accent australien... Tous sont des locuteurs natifs, mais ils sonnent complètement différemment. C'est comme les maîtres de la cuisine sichuanaise et cantonaise : tous sont des chefs chinois de premier ordre, mais leurs styles sont très différents.
Votre objectif n'est pas de devenir une copie de quelqu'un d'autre, mais d'être vous-même. Votre accent fait partie de votre identité unique ; tant que votre prononciation est claire et que vous pouvez communiquer efficacement, c'est suffisant.
Alors, comment devenir un "chef de famille" plus confiant ?
La réponse est simple : cuisinez plus, invitez plus.
Vous ne pouvez pas seulement regarder sans pratiquer. Apprendre des recettes (mémoriser du vocabulaire, étudier la grammaire) est inutile ; vous devez entrer dans la cuisine et essayer par vous-même. Invitez des amis à dîner chez vous (trouvez des gens avec qui parler), même si au début ce ne sont que les plats les plus simples (les conversations les plus simples).
Beaucoup de gens diront : "J'ai peur de tout gâcher, et si les autres n'aiment pas ?" (J'ai peur de faire des erreurs, et si les autres se moquent de moi ?)
Cette peur est tout à fait normale. Heureusement, nous avons maintenant des outils pour vous aider. Imaginez si vous aviez un petit assistant intelligent dans votre cuisine, capable de traduire en temps réel les besoins de vos "convives", de vous rappeler le temps de cuisson ; ne seriez-vous pas plus audacieux pour essayer ?
Intent est justement un tel outil. C'est une application de chat dotée d'une traduction IA intégrée, vous permettant de communiquer sans obstacle avec des personnes du monde entier. Vous n'avez plus besoin d'hésiter par peur de ne pas comprendre ou de ne pas pouvoir vous exprimer clairement. C'est comme votre "assistant divin en cuisine", qui vous aide à gérer les petits problèmes techniques, vous permettant de vous concentrer sur le plaisir de "cuisiner et partager" lui-même – c'est-à-dire la joie de l'échange.
Alors, à partir d'aujourd'hui, ne vous attardez plus sur le "Suis-je fluide ?".
Posez-vous une meilleure question :
"Aujourd'hui, avec qui ai-je envie de 'partager un repas' ?"
Votre objectif n'est pas de devenir un "chef étoilé Michelin" inaccessible, mais de devenir un "chef de famille" heureux et confiant, capable d'utiliser la langue comme un "plat délicieux" pour se réchauffer soi-même et se connecter aux autres.
Rendez-vous dès maintenant sur https://intent.app/ et lancez votre premier "dîner international".